« J 'ai fini ton ouvrage , ça m'a beaucoup plu, vraiment. C'est extrêmement original et trés bien ficelé, avec une atmosphère... trés glaciale et romantique, bref tout ce que j'aime !! »
Hugues PERRIN (illustrateur, ), le 22 juillet 2007
« J'ai à nouveau lu quelques pages du Masque de l'Archange mais j'avoue que j'ai bien du mal, c'est tellement noir que je n'arrive pas très bien à y trouver le second degré; par contre bravo pour votre plume, je trouve qu'il y a beaucoup de poésie c'est ce qui fait que je n'abandonne pas le récit. »
Sabine, le 13 juin 2007
« Ça y est. Je viens de terminer la lecture de ton Masque de l'Archange. Résultat : c'est vachement bien. J'ai beaucoup aimé (…) La forme est déroutante mais c'est bien conçu et bien écrit. Très poétique également. »
Olivier BIDCHIREN ( écrivain ), le 6 avril 2006
« Votre livre est troublant (…)
Vu les thèmes que vous traitez, votre roman est plutôt une tragédie. L'atmosphère de l'oeuvre est plutôt glauque ; le mystère est constamment présent ; des allusions sont faites au catholicisme, aux époques vénitiennes.
J'avoue que ce n'est pas ma lecture habituelle, essentiellement tournée vers la poésie. Je ne suis cependant pas mécontent d'avoir lu votre ouvrage, car il est intéressant de connaître différents auteurs et différents genres. »
Etienne Parize (poète), le 1er mars 2006
« Dans les parties en vers je les ai lues en « deux temps » : en totalité puis en omettant les italiques. Ceci n'enlève rien à la beauté de l'écriture et le sujet traité (…) est repris de façon inédite. On ne s'ennui donc pas.
D'autre part le passage de la prose aux vers permet d'améliorer la compréhension, puisque dans l'un on a le passé et dans l'autre le présent. »
Fanny, le 30 mai 2005
« J'ai commencé la lecture de ton roman ce matin dans le train... 20 minutes de trajet et déjà 35 pages d'avalées... J'adore !
Ton style a fait surgir en moi les images d'un drame Kabuki où les personnages sont figés par de longs silences ou chaque détails pèsent lourdement. A la manière de ces Mangas Coréen où les plans fixes s'attardent sur des détails tels que des regards sans âmes ou reflétant l'horreur d'un destin inéluctable, une fumée de cigarette, une bouche grimaçante... Où les personnages sont mis en scène par quelques sons évocateurs : bruits de pas, néon crépitant et lancinant, crissement d'une lame lentement dégainée... Puis tout va très vite... le spectateur n'a que quelques fractions de secondes pour goûter la violence puis c'est l'apaisement... le calme... l'insatisfaite vengeance !!!
Une chose est sûre, je vais terminer ton livre ce soir... J'ai hâte de partir pour Venise... Bravo. »
Laurent, le 29 mars 2005
« Bravo Michael pour votre ouvrage emprunt d'une grande poésie. »
Gegdred, le 10 mars 2005
Comme j’aurai aimé
Mourir à tes côtés
Ne pas te quitter
Rester enlacés
Le destin en a voulu autrement
Il ne me reste que le sang
Pour pleurer
Pour t’aimer
« J’adore trop ce passage et cet écrivain est là en ce moment jusqu’à dimanche 3 avril. Il est au salon du livre policier à Lens. Franchement ça vaut le cou !!! »
Aurélie, le 1er avril 2005
( Merci à Aurélie pour ces bons mots inscrits sur son blog le lendemain de cette rencontre dédicacée )