Le Masque de l’Archange :

Le résumé ?

Un jeune homme mélancolique et amoureux, passionné de théâtre, revient d’entre les morts pour assouvir sa vengeance. Il espère ainsi retrouver ce que la violence, la mort et la douleur lui ont fait perdre et que le royaume des morts ne lui a pas rendu.

illustration de Sir Vladheim © Juin 2007

Son originalité ?

Yves-Fred BOISSET, rédacteur en chef du journal littéraire « La Braise et l'Etincelle » qualifie ce roman de "« théâtro-philosophico-poétiqueque " ( La Braise et l’Etincelle – juillet 2005 ). « En effet, cet ouvrage est les trois à la fois » continue-t-il dans sa chronique, en précisant ensuite : « Composé comme une pièce de théâtre avec des actes et des scènes numérotées, il entremêle textes de réflexion et poèmes d’excellente facture, l’ensemble étant harmonieux ».

Effectivement, le destin du personnage principal et des différents protagonistes de cette histoire nous sont dévoilés tantôt en prose, tantôt en poésie dite « libérée ».

De plus, le découpage n’est pas classique. Plutôt que de découper son histoire en chapitres, l’auteur a préféré nous la présenter en actes et en scènes, comme si au-delà du malheur, de la souffrance et même de la mort, la vie n’était qu’une pièce de théâtre, une farce burlesque où nous avons tous un rôle à y composer.

Quant au metteur en scène, de la tragédie qui se joue sur les planches de la vie, l’auteur nous en esquisse quelques traits, mais Lui et ses sombres desseins restent en retrait. Cette mystérieuse puissance laisse le soin à son Archange Vengeur d’intervenir auprès des acteurs qu’Elle a elle-même choisis.

Les inspirations de l’auteur ?

Celles-ci sont diverses.

Elles proviennent tout d’abord de ses idées noires et de ses angoisses qui, à une époque, ont jalonné sa vie.

Culturellement, elles trouvent leur origine dans :
L’univers du cinéma : The Crow, Dark City entre autre ;
La musique : THE CURE ("Pornography" et son jardin suspendu), LES TÊTES RAIDES, CASSE-PIPE, INDOCHINE ("Punishment Parck" ) ou encore NOIR DESIR ;
Et finalement le Théâtre, la Comédia Dell’arte et les Masques Vénitiens...